ANACONDAGRIPPINA

7 août 2008 4 07 /08 /août /2008 00:00

L'oeil avare de lumière
se perd dans l'ombre
des écailles amères
usant de son aigreur
le fil des jours et des heures.
Bavant le fiel acide
des instants engloutis
la gueule se plisse
et se fige dans l'horreur.
Fatigué de tant de vide
le corps lourd et pesant
s'enroule
dans les rides haineuses du temps.
VITA

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Published by VITA - dans poesie
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commentaires

L'Enchanteur

09/08/2008 19:57

L'Anaconda ne peut-il pas être serré comme cela auprès non pas d'une proie mais d'un émoi? Comme le temps en fait car ce dernier peut sembler entourrer sa proie pour l'emmener vers la mort mais il peut aussi attirer vers la lumière, protéger l'objet ou la personne effleurant son parcours! L'Enchanteur

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Aux éclats !

09/08/2008 16:58

Tu es douée, vraiment ! J'espère que tu ne parles pas de toi dans ce poème ...je suis sûre que non ...

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VITA

09/08/2008 19:55

Je ne suis pas un anaconda,je n'étouffe personne ..VITA

Quichottine :0010:

08/08/2008 15:24

J'aime ton anaconda, il fait moins peur... mais pourtant, il a capturé sa proie, et l'empêche de même de prendre le large.

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VITA

09/08/2008 19:52

L'anaconda est trop lourd pour me prendre..VITA

Jim

07/08/2008 13:10

Mais le venin devient-il inoffensif avec le temps?Bonne journée Vita! :0010:

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VITA

07/08/2008 13:36

C'est son immobilité,sa lourdeur et sa laideur qui m'impressionnent....VITA légère comme une bulle.

Sév

07/08/2008 00:02

Rêves bô.

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VITA

07/08/2008 13:37

Merci de cette belle photo..VITA