5 janvier 2008
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Le labyrinthe de pénombre jusqu'à la grande pièce qui exhale encore les rythmes des tambours baoulé et dans sa nuit froide le calme du petit matin.Le voile masque les premiers rayons du jour...Je m'assieds...Je sens le mur rugueux de la réalité nue,je vois l'ombre apaisante des souvenirs,j'entends le silence comme une caresse.... Seule dans cette pièce,je regarde par la porte du jardin,les lueurs de l'aube.
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Du bleu ardent de la nuit
Surgit l'étincelle du jour
Qui comme une griffure
Marque le velours de l'ombre.
Surgit l'étincelle du jour
Qui comme une griffure
Marque le velours de l'ombre.